RELEC29 a écrit:
les déchets amiantés devront être ensachés dés le prélèvement sur zone, la plupart des produits amiantés que l'on trouve sur un bateau ( calorifugeages, ciment, colle, joints de tuyauterie, peintures, isolation de cloison, ect...) sont sans danger des lors qu'ils sont intègres, ce n'est plus le cas lors d'un chantier de déconstruction ou sur une épave, les fibres d'amiante sont trés petites et volatiles. La priorité va déjà être le recensement des produits dangereux présents sur cette épave (depuis 2000, de nombreuses déficiences ont été relevées au cours des différentes inspections, défaut de structure, de maintenance, de corrosions des ponts, de conditions de vie, ect ...), cela peut prendre un peu de temps, ensuite lancer l'appel d'offres auprès d'entreprises dument estampillées, là aussi cela risque de durer, quand à l'impact écologique

, le piétinement des curieux de ce week end c'est de la roupie de sansonnet à côté de ce qui attend le site

et il reste une petite question sans importance c'est qui va payer

rassurons nous le bateau naviguait sous pavillon maltais, pour y avoir été c'est très riche comme coin

SEB29 a écrit:
Je ne sais pas si il faut un confinement pour les travaux de désamiantage en extérieure?
Pour les riverains, il faudrait mieux!
1 les travaux sont en intérieur donc il y aura confinement
2 avec les normes 2012 il n'y aura plus de différenciation entre amiante friable et amiante non friable , après une suite de mesure sur des chantier de désamiantage il s’avère que les fibres sont présentes partout
déjà les inspecteurs du travail même avant la sortie des règlements 2012 font appliquer le principe de précaution et demande dans tous les chantiers de désamiantage le renforcement , même pour enlever la colle de fixation de dalles il demandent un triple sas et un équipement comparable et même supérieur pour la filtration et les scaphandres a ceux utilisés pour le friable
alors mettre en demeure l'armateur de faire disparaitre l'"épave pour avril c'est irréalisable